HOMMAGE A MARIA WHITTAKER

Issue comme Samantha Fox du fameux torchon anglais The Sun, célèbre pour sa page 3 montrant une pouf topless, page sans doute génératrice de plus de la moitié des ventes du journal, Maria Whittaker fit partie de ces modèles de charme qui marquèrent une génération entière de garçons innocents en s’invitant directement dans leur chambre grâce à deux titres : Barbarian (1987) et Barbarian II (1988). En effet, elle fut choisie pour jouer la guerrière sexy aux côtés d’un sac de muscles pour les jaquettes et la campagne publicitaire des jeux. On ne pouvait rêver mieux, Maria regroupait toutes les qualités qu’un puceau masturbé de cet âge-là recherchait : belle, mince, gros seins.

Comme pour Elvira, les photos de Maria Whittaker, fort nombreuses sur le Net, sont un instantané de ces années là sur le plan des poses, du filtre, du maquillage, coiffure et fringues. Enfin, le peu de fringues qu’elle portait parce qu’elle était souvent à poil. A poil, mais pas totalement. Je n’ai pas creusé le sillon mais je n’ai pas vu de photos d’elle montrant de la fourrure. Un restant de pudeur sans doute, ou la somme proposée n’était pas suffisante peut-être...
En plus de ses photos exhibant fièrement son beau corps caramel, elle se lança dans la chanson le temps d’un disque. Malgré sa plastique, ce fut un bide.

Mais revenons à la série des Barbarian. Sortis par la boîte Palace Software, les titres combinaient à chaque fois tous les atouts afin de faire cracher au bassinet le joueur de base : un jeu magistral assorti d'une jaquette et d'un poster-cadeau montrant une sublime nana à gros seins court vêtue. Imparable !

La pub française pour Barbarian premier du nom. On ne pouvait que s'y arrêter lorsqu'on tombait dessus.

La jaquette complète de la version Spectrum. Fait encore plus rare pour ce jeu, toutes les versions des différentes machines furent excellentes. Les programmeurs étaient vraiment des pros.

On remet ça avec Barbarian II mais avec un peu plus de moyens. Il y a du décors et surtout des costumes. Maria n'est plus en bikini mais porte des atours qui font de suite penser à Conan et surtout à Red Sonja.

Le poster offert. Certains ont dû pester de ne pas avoir juste Maria en gros plan... Le bodybuildé, avec sa perruque et sa hache en plastique, est complètement oublié dans toute cette histoire.

Quelle gonzesse!

J'ai pu retrouver pas mal de petites photos des shoots. La qualité vaut ce qu'elle vaut. C'est vieux hein...

Au pied la femelle!

C'est pas ce qu'on remarque au premier coup d'oeil mais elle avait également un sourire magnifique.

C'est mignon les petites chaussettes.

Habilleur de Maria Whittaker, il y a des boulots plus ingrats...

- Ah zut, la ficelle a encore sauté...

Le porteur d'épée à droite est l'un des programmeurs de Palace Software. Ça a dû lui faire bizarre de rencontrer une fille pour de vrai... Vous avez lu la news du timide qui a failli mourir parce qu'une nana trop jolie s'est assise à côté de lui dans l'avion?

J’ai eu les deux Barbarian sur mon ST, mais en version pirate. Je suis donc complètement passé à côté de la belle. Tout de même, j’avais dû la voir dans un bouquin de fesses de cul de l’époque, Playboy ou Lui, parce qu’elle me disait quelque chose lorsque je suis tombé sur elle lors de la sortie d’un jeu de strip poker lui étant consacré : Maria’s Xmas Box. Sans doute que quelqu'un de très malin s'est dit qu'une nana comme ça, ayant fait vendre pas mal de disquettes rien qu'en étant en bikini, devrait en faire vendre encore plus en étant carrément à poil sur l'écran. C’était au début 89, je venais de recevoir mon ST. Hélas, malgré mes tentatives pour le trouver, je n'ai pas pu obtenir ce strip. Et de toute façon, je n'aurais rien loupé car, contrairement à la version Amiga qui affichait des photos digitalisées en 4096 couleurs, la version ST, palette de 512 couleurs maxi oblige, ne proposait que des digits en 16 couleurs. Aucun risque de choper une érection incontrôlée donc...

La jaquette.

La version Amiga, avec des graphismes à faire hurler à l'époque.

Je suis persuadé que plein de gens ont acheté ce jeu alors qu'ils ne savaient même pas jouer au poker...

La version Commodore 64. Il fallait de l'imagination pour s'exciter...

Quant à la version Spectrum, on n'en parle même pas!