mercredi 5 février 2014

GOLDORAK STREET ART



Le street art. Tout le monde trouve ça cool. Jusqu'au jour où l'on découvre que son propre mur a été barbouillé de couleurs immondes représentant un basketteur, un rappeur ou carrément l'auteur de la merde fluo qui vous servira désormais d'enduit. En général, les avis changent du tout au tout.
Je suis sorti l'an dernier avec une fan de street art. Quand on se promenait dans Paris et qu'elle voyait un graffiti, elle sortait son APN... Je ne disais rien. On ne va pas se fâcher, surtout au début.
Bref, le street art, j'aime pas ça, sans doute parce que je suis un banlieusard et que je le subis depuis plus de 25 ans. C'est moche, mal foutu, leurs auteurs savent rarement bien dessiner et que c'est le plus souvent des trucs uniquement dédiés à leur propre gloire. C'est une façon comme une autre d'exister. J'assimile ça à de l'urine déposée pour marquer son territoire. "C'est mon mur, c'est à moi!"
Heureusement, parmi les autoportraits à la bombe de DJ Couille ou les messages rebelles et engagés de Momo dans la cage d'escalier nous informant qu'il "nike la bac", sans doute parce qu'il n'a pas eu le sien, on peut trouver des choses sur notre robot de l'espace favori. C'est pas mieux mais ça change.

Une représentation très connue puisque issue d'une photo promotionnelle de la série. On a juste (mal) rajouté une phalange pour faire un "fuckrak".

Un mur complet, là aussi toujours issu d'une photo promotionnelle.

Nos amis arabes ont grandi comme nous avec Goldorak, voir ici.

Un artiste en plein travail.

Vous voyez, cette représentation ne manque pas.

Ça, ça me fait rire par contre.

Les mains c'est pas ça...

2 commentaires:

  1. Tu connais du monde qui aime ces merdes ? Mon dieu où tu vas chercher tes copines ... Dans les égouts ou au siège du PS, obligé.

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  2. Sympa j'adore les graphs !!

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